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Les Instants Infeeny : Cloud Azure

Les Instants Infeeny : Migration vers le Cloud Microsoft Azure

Echange Infeeny autour des enjeux de la migration du système d’information (SI) avec le Cloud Microsoft Azure au travers de notre offre Your Journey to Azure.

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Transcription de l’interview vidéo
Les Instants Infeeny : Migration vers le Cloud Microsoft Azure

Guillaume Rochette, Directeur Général Infeeny & Christophe Sicre, Directeur de la Practice Cloud Experience

Guillaume : Bonjour Christophe

Christophe : Bonjour Guillaume

Guillaume : Aujourd’hui Azure a atteint un niveau de maturité, un développement en termes de fonctionnalités et d’exhaustivité des services rendus qui vient faciliter la migration de nos clients vers la plateforme Azure. Aujourd’hui en quoi votre offre « Journey to Azure » vient sécuriser et finalement optimiser cette démarche ?

Christophe : Alors tout d’abord en fait, « Journey to Azure » c’est le sens des mots. La traduction de Journey ça pourrait être un périple, un voyage. Donc le sens des mots est important parce qu’un périple finalement ce sont des péripéties, c’est quelque chose qui peut ne pas forcément se passer très très bien. Et un voyage ce sont de belles choses, de belles rencontres et puis des activités. Donc l’offre « Journey to Azure », pour Infeeny ce que l’on souhaite apporter au client finalement c’est… que ce soit un voyage. Un voyage vers Azure, un voyage vers le Cloud. Les aider à identifier un petit peu les briques de services, présenter Azure parce que finalement Azure c’est beaucoup beaucoup de choses. Les rassurer aussi, leur dire que le Cloud ce n’est pas quelque chose d’effrayant, c’est quelque chose qui peut être rassurant, sur lequel ils peuvent envisager mettre leur production finalement. Et puis aussi de comprendre leur besoin, de les interviewer, d’essayer de savoir à quelles échéances ils voudraient envisager cette migration vers le Cloud. Et puis voilà c’est un petit peu tout ça. Une offre pour rassurer les clients. Une offre pour accompagner, pour présenter et puis aussi il y a quelque chose d’important c’est aussi orienter un petit peu les Directions de Système d’Information vers des centres de profits, vers des choses qui sont un petit peu à valeur ajoutée, force d’innovation aussi pour les métiers de l’entreprise. C’est tout ça « Journey to Azure » finalement.

Guillaume : Ok. Quels sont finalement les grands enseignements que vous avez tirés des dernières migrations que vous avez produites avec vos équipes ?

Christophe : Alors des grands enseignements il y en a 3 principaux : l’identification, les méthodes de migration et finalement les contraintes techniques. Dans l’identification ce qui est vraiment vraiment important de retenir c’est que l’on a… nous on a perçu que les DSI étaient souvent conscients de ce qu’ils avaient en termes d’inventaire de parcs de machines mais que très souvent ils n’en maitrisaient pas les usages. Quand on envisage une telle migration vers le Cloud il faut savoir quand on peut arrêter le service. Pour savoir quand on peut l’arrêter il faut savoir à qui il appartient ce service. Donc l’étape d’identification c’est une étape majeure qui est à soumettre à la Direction des Système d’Information et qui est à éprouver. Il faut… il va peut-être falloir passer par un arrêt des services pour savoir à qui appartient le système. Dans cette identification il y a aussi la nomination des acteurs et des sponsors. Une migration vers le Cloud c’est un bouleversement d’entreprise. C’est externaliser une partie de la production, externaliser des applications métiers, changer les méthodologies d’accès. Donc trouver les bons acteurs et les bons sponsors de ce changement au sein de la structure c’est quelque chose qui est vraiment vraiment important.
Le deuxième enseignement et bien c’est la méthode de migration. Quelle méthode on va utiliser pour atteindre ce résultat et cette réussite du Cloud. Et la méthode de migration finalement il y en a plusieurs, il y en a principalement 3. La copie conforme qui va être la réplication d’un environnement sur un site On-Premise vers un site Cloud, la méthode la plus simple. C’est le… on va dire le point le plus agréable dans les migrations Cloud. Il va y avoir une phase aussi, le deuxième point, qui va être plus une transformation sur des systèmes qu’on ne peut pas migrer en l’état vers le Cloud. Je pense à des systèmes qui sont aujourd’hui quasi obsolètes comme les serveurs Windows 2000 qui ne sont pas compatibles avec les plateformes Azure. Donc il va falloir faire évoluer, voir reconstruire. Et puis la troisième ça va être une prise des éléments de stockage, un dépôt dans Azure et une reconstruction des enveloppes. Ce genre de migration est possible. Alors pour ce faire on a pleins pleins d’outils qui existent dont Azure Migrate, Azure Site Recovery… des outils comme cela qui permettent de facilité toutes ces étapes.

Et le troisième pan de ces grands enseignements ce sont les contraintes techniques, finalement les contraintes qui sont imposées par des systèmes qui sont souvent vieillissants et qu’on ne pourra pas transposer dans le Cloud en l’état. Des systèmes que l’on va être obligé de déménager. Le déménagement de workload est une étape obligatoire finalement dont on ne pourra pas se passer. Et également une autre contrainte technique importante ce sont les réseaux. Le dimensionnement des réseaux. Finalement mettre de la puissance de calcul dans le Cloud c’est aussi passer par internet et pour ce faire il faut que les dimensionnements réseaux soient au rendez-vous. Donc une des grandes étapes de la réussite d’une migration Cloud c’est de s’assurer que les réseaux sont bien dimensionnés, que l’on a un bon lien avec l’opérateur et qu’on s’assurera d’avoir des accès fluidifiés et puis un temps de réponse correct pour les utilisateurs.

Guillaume : Très bien. Une fois que cette migration est opérée finalement c’est le premier pas vers le Cloud. Quelles sont surtout les grandes étapes à ne pas louper une fois que l’on a cette production un petit peu hybride et cette nouvelle gestion de l’infrastructure à opérer ?

Christophe : Alors les grandes étapes finalement au-delà de celles que l’on a citées avec les enseignements que sont d’identifier, de cartographier et de définir et bien finalement c’est d’optimiser. De faire en sorte que les coûts… que ce que l’on dépense finalement sur ces plateformes Cloud soient au maximum optimisés. De régir un petit peu le mode de fonctionnement et l’état arrêté ou éteint de ces différentes machines pour n’en payer que l’utilisation réelle. Donc c’est une forme d’optimisation. La garantie des SLA en mettant en œuvre les bons gabarits pour les bonnes machines. Et l’étape suivante, l’étape obligatoire et bien c’est d’opérer finalement ce Cloud. L’opérer il y a plusieurs manières de le faire, soit c’est le client qui décide d’opérer lui-même sa plateforme Cloud, soit il bénéficie des services Infeeny puisque nous sommes nous-mêmes dotés de centres de services et bien tout à fait adaptés et en positionnement d’expertise sur ce genre de sujet. Donc en services managés. On bénéficie aussi de beaucoup d’outils qui sont de facto déjà sur Azure. Des outils de monitoring, de supervision. On a les outils OMS qui font du Log Analytics, on a Azure Monitoring qui va permettre de connaître et d’identifier l’état des machines finalement et puis d’être en alerte à chaque point de rupture qu’il pourrait y avoir, chaque élément de puissance, de RAM, de disque, de CPU… tous ces éléments qui sont nécessaires au fait d’opérer le service managé. L’étape importante aussi, au-delà de ce service managé, c’est transmettre. C’est et bien finalement de former nos clients à ce nouvel usage, à ces nouvelles plateformes, à ces nouvelles consoles d’administration qui sont assez récentes finalement, c’est quelque chose qui date… c’est notre ère mais c’est assez peu palpable pour certaines personnes donc de former, de transmettre, de mettre à disposition des livrables et de pouvoir partir sereinement de ces prestations et de laisser un client qui est autonome ou qui délègue pleinement le service aux équipes Infeeny.

Guillaume : Effectivement vous m’expliquer que les migrations… souvent on est là pour initier ces migrations mais que c’est un chemin qui perdure même après les prestations de transformation que l’on peut produire.

Christophe : Tout à fait. C’est exactement ça.

Guillaume : Merci beaucoup Christophe.

Christophe : Merci Guillaume.

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